Author: Redaction e-thicHR

How Millennials Are Changing the Workforce For The Better

Millennials—members of the generation born roughly between 1980 and the mid 2000s—aren’t always portrayed in the nicest of lights: lazy, entitled, and unwilling to put in the hard work of their predecessors, say their critics. But, they are currently also changing the workplace for the better.

How? Here are 5 ways

1. They’re Slimming the Wage Gap
“Millennials are the first generation that isn’t afraid to fight for equality in the workplace and this study confirms that they are starting to close the gender pay gap that has existed in the American society for decades,” says Dan Schawbel*

2. They’re Fast on Their Toes
72 % of millennials value the chance to learn new skills, compared to just 48 % of Boomers and 62 % of Gen Xers, according to a recent study conducted by Millenial Branding and PayScale. Additionally, “millennials are the generation considered best at key skills businesses require to remain agile and innovative,” concludes a study from Elance-oDesk and Millennial Branding.

3. They Think Outside the Box
The same Elance-oDesk study also finds that millennials are both more creative and entrepreneurial than Gen X

4. They Aren’t as Selfish as Everyone Thinks
While growing up with Mark Zuckerberg as a model may make millennials feel more pressured to reach success at a young age compared to their older counterparts, they’re also more willing to give back. In fact, 84 % of millennials say that helping to make a positive difference in the world is more important than professional recognition, reports Bentley University’s Center For Women And Business.

5. They Can Build a Mean Network
Looking at the numbers, 58 % of millennials expect to leave their jobs in 3 years or less, according to the Elance-oDesk study. But these exits may not necessarily be due to a lack of loyalty, per say. Job hopping millennials can forge mutually beneficial connections between companies, ultimately creating better products and services.

*Founder of Millenial Branding

Read the full article « 5 Ways Millenials are changing the worforce » by Kylie Gilbert

 

Les postures adoptées par les RH face aux enjeux de la e-transformation

Les sociétés n’ont pas les mêmes réactions face à la digitalisation. Certaines résistent aux évolutions quand d’autres préfèrent les intégrer rapidement pour ne pas se laisser distancer par l’économie numérique.

Selon l’observatoire des RH et de la e-transformation il existe 4 postures-types des entreprises face à la digitalisation : paradoxale, engagée, résistante ou réservée. Cette typologie, définie par Arctus, une société de conseil spécialisée dans l’accompagnement de la transformation des organisations par le numérique, permet de mieux comprendre comment les entreprises se positionnent face aux bouleversements technologiques. Cette grille de lecture, utilisée lors des précédentes études de l’observatoire, est aussi intéressante pour mesurer les changements dans l‘adoption des technologies par les professionnels.

  • La posture réservée : la sécurité avant tout
    55% des entreprises sont réservées face à la digitalisation. Elles ont tendance à temporiser devant le changement, sans toutefois le rejeter en bloc.
  • La posture engagée : innovation à tous les étages
    31% des entreprises peuvent être classées dans la catégorie des organisations engagées. Elles sont plutôt dans une posture innovante, sur un mode collaboratif.
  • La posture résistante : on freine des quatre pieds
    10% des entreprises ont une attitude de résistance à la digitalisation. Elles pratiquent un management directif avec des DG et Comex peu ou pas ouverts à la transformation numérique.
  • La posture paradoxale : de la techno à consommer avec modération
    3% des entreprises ont une attitude paradoxale vis-à-vis de la digitalisation. Elles ont intégré en partie le potentiel qu’apportent les technologies numériques et sont prêtes à les tester. Notamment des communautés de pratiques ou les boites à idées pour favoriser la culture de l’innovation.

    Télécharger les résultats de l’étude 

 

 

http://www.blogdumoderateur.com/postures-entreprises-digitalisation/

Un autre regard sur la différence dans le monde de l’entreprise

Thomas Howell doit passer un entretien d’embauche dans un cabinet d’avocats réputé. Quand il voit arriver le recruteur, un jeune trisomique, son étonnement est total. Paul Dexter n’est pas un recruteur comme les autres, mais l’entretien va vite prendre une tournure très intéressante. Le court-métrage australien « The Interviewer » propose un autre regard sur la différence dans le monde de l’entreprise. Chacun y a sa place et il est possible de travailler ensemble, à condition de donner sa chance à tout le monde. C’est un peu le message qu’a voulu faire passer la réalisatrice Genevieve Clay-Smith qui « défend les valeurs de justice sociale et d’inclusion de personnes ayant un handicap » explique le magazine court-circuit de la chaîne franco-allemande Arte.

Voir le court-métrage « The Interviewer »/ »Le Recruteur »

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10 Predictions For Human Resources In 2015

A new report from Bersin by Deloitte anticipates traditional challenges, such as the development of a leadership pipeline, to stay put in this year. At the same time, it expects HR teams to redesign a lot of their core processes to suit the new workplace.

« 2015 will be a tumultuous and transformational year in many areas of corporate talent. The global economic recovery, changing demographics, and rapid changes in the technology landscape have come together to redefine the entire nature of work. While many talk about the “new world of work,” in reality we now have a “new world of life”— one in which work, home, family, and personal lives are completely interconnected in a real-time way », he said in his Note.

These are the 10 predictions for HR in 2015:

  • Engagement, retention, culture and inclusion are all front burner issues
  • Redesign of performance management to continue
  • Addressing the overwhelmed employee
  • Skills are the new currency
  • Traditional recruiting makes way for network recruiting
  • Internal talent mobility a top priority
  • Accelerating the development of a leadership pipeline
  • Investing in talent analytics and workforce planning
  • Redefining the HR technology strategy
  • Investing in HR professional development

Read the full Report 2015 

Femmes dans des "métiers d'hommes": entre contraintes et déni de légitimité

Techniciennes, ingénieures, cadres: les femmes se heurtent toujours à des difficultés dans les entreprises. Hostilité, défiance, bienveillance douteuse… c’est le résultat d’une étude récente du Cereq (Centre d’études et de recherches sur les qualifications. Il met en lumière les obstacles posés aux femmes exerçant des fonctions traditionnellement dévolues aux hommes. Ayant mené une centaine d’entretiens semi-directifs avec des salariées d’une grande entreprise, les chercheurs du Cereq délivrent un constat sans appel.

Les femmes rencontrent bel et bien des difficultés spécifiques. Dans ces univers masculins, si la grande majorité des femmes décrivent l’attachement à leur métier et les satisfactions qu’elles en retirent, elles doivent pourtant toutes faire face à de fortes résistances. Les difficultés ne sont pas du même ordre selon les différents métiers et leur positionnement dans la hiérarchie sociale. Ainsi, les techniciennes de terrain se heurtent à l’absence a priori de légitimité des femmes dans le domaine technique. Les ingénieures, les responsables de projets ou les manageuses, pour leur part, subissent de plein fouet l’exigence d’une forte disponibilité liée à la fonction et, en corollaire, les difficultés d’articulation avec la vie familiale.

Face aux différentes formes de difficultés que peuvent rencontrer les femmes au travail, qu’elles se confrontent à un sexisme bienveillant ou non, c’est implicitement l’accès à certaines places dans

l’entreprise qui leur est ainsi contesté. De là ce sentiment de devoir sans cesse « en faire plus » ou « faire ses preuves » pour donner corps à des fonctions techniques ou managériales que d’aucuns persistent à concevoir comme « naturellement » masculines. L’intensification du travail et la transformation des métiers viennent renforcer le sexisme préexistant dans les univers professionnels. Selon le Cereq il est nécessaire de parvenir à des accords sur l’égalité professionnelle qui soient réellement mis en oeuvre

Lire l’article « Femmes dans des métiers d’hommes : le sexisme n’est pas mort »

Lire l’étude du Cereq