HR News

Responsables RH : ce que vous pouvez apprendre de "The Voice"

Peu d’émissions de recherche de talents ont atteint ces dernières années le succès de « The Voice ». Les critiques et autres journalistes TV ont été nombreux à encenser ce programme pour son approche totalement nouvelle. Sans tenir compte de l’apparence, de l’âge, du style ou de multiples autres critères (qui servent généralement de filtres et de points de départ aux critiques acerbes et caustiques du jury) « The Voice » se concentre sur la seule chose pertinente : le talent.

Par conséquent, ceux qui décident ou non du passage d’un candidat à l’étape suivante ne sont pas appelés « Jury ». Ils ont plutôt le rôle de coachs qui doivent en premier lieu découvrir, à l’aveugle, les meilleurs candidats, les rallier à leur équipe, les entraîner, les coacher et les évaluer… tout ceci afin qu’ils puissent sortir gagnant de la compétition au détriment des 3 autres équipes.

Dans cette émission, la plupart des techniques utilisées par les coachs pour mener leurs candidats jusqu’à la victoire peuvent être déclinées par les responsables RH dans leurs missions quotidiennes. Vous voulez savoir comment ?

Lisez l’article  » Je te veux dans mon équipe – Ce que les responsables RH peuvent apprendre de « The Voice ».

Offre d'emploi détournée "made by" RTBF

La RTBF recherche un directeur en stratégie politique, poste à pourvoir à l’étranger. Sa mission : établir les liens avec le pouvoir en place et assurer la cohérence des actions politiques en lien avec la stratégie confidentielle de l’entreprise. Nous vous laissons découvrir l’annonce détournée en pun

Descriptif de la fonction

  • Vous établissez la stratégie politique ;
  • Vous assurez le lien avec les différentes formations politiques et les lobbys ;
  • Vous proposez des évolutions et des nouvelles idées, populaires ou non, pour le bien de la société ;
  • Vous participez à des réunions externes et internationales, et êtes amené à négocier avec des partenaires économiques importants.

Aptitudes et compétences requises

  • Vous êtes au minimum titulaire d’un master en sciences politiques d’une grande université américaine ;
  • Vous détenez une solide expérience et des connaissances approfondies dans le domaine politique ;
  • Vous parlez l’anglais couramment ;
  • Vous détenez une expérience en gestion des ressources humaines et connaissez les ficelles du licenciement sans indemnités ;
  • Vous démontrez une grande capacité à assurer vos arrières et à retourner votre veste quand les circonstances le demandent ;
  • Vous pouvez faire votre leitmotiv de  » La fin justifie les moyens « 
  • Vous n’éprouvez aucune empathie pour vos équipes mais pouvez faire semblant ;
  • Vous pouvez mettre votre vie familiale de côté au profit de votre carrière ;
  • Vous aimez utiliser le sexe comme technique de négociation ;
  • Une expérience dans le domaine militaire est un atout ;

Lire l’annonce  » Un directeur en stratégie politique (m/f) – Poste à pourvoir à l’étranger « 

 

Top 10 Highest-impact Strategic Recruiting Challenges

In his latest blog article, the internationally known HR thought-leader from the Silicon Valley, Dr John Sullivan, wrote about the biggest strategic challenges or problems that corporate recruiting leaders will face in the next few years. In his list, the highest impact problems and challenges appear first.  » If you don’t act proactively to mitigate these major challenges, they unfortunately may grow out of control, causing exponential damage to your firm » he said. Let’s have a look at this top 10 challenges.

  1. Not being prepared for the return of intense recruiting competition –recruiting could have been labeled over the last few years as being relatively easy. But as the economy improves, the power will inevitably shift away from the corporation to the job seeker. With this shift, most corporate recruiting functions simply aren’t ready for a return to intense competition where the candidate holds the power.
  2. The increased volume of open positions will overload the recruiting system – in addition to having to fight over individual talent, the upcoming increase in the volume of hiring will further stress most existing recruiting systems to the limit.
  3. Rusty hiring managers and underdeveloped recruiters have diminished capabilities – a low volume of hiring and the lack of competition may have caused the capabilities of your hiring managers and recruiters to degrade significantly. Adding to that condition the fact that there has been little money for development or training for either recruiters or managers will mean that in growth mode both are likely to initially stumble under this new environment.
  4. A lack of speed will restrict your results – the business world moves much faster today than it did during the last recruiting boom. Unfortunately, recruiting hasn’t maintained its speed capability because reduced recruiting resources and a lack of competition have caused many firms to stop focusing on their time to hire.
  5. Long-ignored employer brands will begin to negatively impact recruiting – in a down economy with its surplus of applicants, few recruiting leaders paid much attention to their external employer brand image. Few have taken the time to measure their employer brands, and as a result, recruiting leaders often don’t realize how their “talent failures” (including layoffs, pay cuts, promotional freezes, etc.) have hurt their employer brand image..
  6. Your current recruiting process may not have the capability of recruiting innovators  one of the things that executives have learned from the success of firms like Google and Apple is the value of innovation and having innovative employees. Unfortunately, most recruiting processes are not designed to effectively recruit innovators, who incidentally expect to see innovation and technology as an integral part of the hiring process.
  7. Your recruiting strategy may be years out of date – obviously without the direction provided by a strategic plan, a lack of focus may doom your firm two years of weak results. But surprisingly, most recruiting functions actually operate without any written and distributed recruiting strategy (one that has its own name).
  8. Antiquated recruiting metrics lower your credibility with executives –whether you have a seat at the table or not, recruiting leaders simply will not be listened to and funded unless they have the right metrics that demonstrate and quantify the dollar impact that high-performing new hires have on corporate revenue.
  9. A shortage of effective recruiters is on the horizon – everyone knows that this long period with a down economy has decimated the ranks of corporate recruiters. Many of those who were laid off have left the profession. And the bad taste that it left in their mouths may cause most never to return to the profession.
  10. The lack of recruiting resources —Unfortunately, most recruiting leaders simply don’t have the capability of building a strong business case that quantifies the tremendous dollar impact that recruiting has on corporate revenue and results.

Read the full article « Big Challenges for Recruiting Leaders — The Top 10 Upcoming Recruiting Problems »

L'écart salarial entre hommes et femmes se creuse après 50 ans !

Au même âge, aux mêmes emplois, avec le même bagage scolaire, hommes et femmes occupent, au bout de 10 ans, des postes différents, hiérarchisés selon le sexe (…) seules les célibataires sans enfant peuvent jouer à armes égales avec leurs concurrents masculins, l’aptitude à avoir des responsabilités étant toujours implicitement définie comme une disponibilité totale pour l’entreprise. L’écart entre hommes et femmes, selon la responsabilité hiérarchique atteint son point culminant entre 45 et 49 ans. Après 50 ans, une différence existe mais la sanction de la seniorité frappe aussi les hommes. C’est ce qui ressort d’une photographie prise par l’APEC sur la seconde partie de carrière des femmes ne fait finalement que rendre les différences plus probantes entre hommes et femmes.

A cela s’ajoute un écart salarial significatif. Les niveaux de rémunération des femmes affichent un net ralentissement dans leur seconde partie de carrière alors que ceux des hommes continuent de progresser. La courbe de l’enquête « Situation professionnelle et rémunération des cadres 2013 » de l’APEC est, à ce titre, édifiante : partant de 36KEuros pour les hommes cadres de moins 30 ans, la rémunération annuelle brute médiane des femmes cadres du même âge débute 34 KEuros pour passer à 40 KEuros à 30-34 ans tandis que celle des hommes grimpe à 43 KEuros. Le décrochage intervient entre 40 et 44 ans avec une différence de 10Keuros à 55 KEuros pour les hommes. Chaque courbe évoluant ainsi jusqu’à 60 KEuros pour les hommes et 48 KEuros pour les femmes, après 50 ans.

Découvrez les résultats de l’ensemble de l’étude dans  » Les salaires dans les fonctions cadres, Edition 2013 « 

Why ‘agency recruitment’ is totally screwed

« The recruitment agency business model is grotesquely dysfunctional. It is broken », wrote Greg Savage  in one of his latest blog article. « The majority of recruiters access only a tiny percentage of the good candidates, and what’s more, secure only a fraction of the clients’ commitment to filling the job », he added.

According to the established global leader of the recruitment industry, not only do most recruiters run their businesses on the same basis as someone playing a lottery, they do it in competition with five other agencies. This is ridiculous. Some very significant recruitment companies with massive turnover, still can’t make any profit because such a huge percentage of their staff time is spent on fruitless work that results in no return. In fact many such businesses are now going bust. Their cost base is too high for their income generation ability. And this is why! Their business model is screwed. And it’s a vicious cycle of discontent. Clients get increasingly irritated because they are dealing with low-level recruiters, who don’t do a thorough job. Ironically the fault for this lies with the client, who asks recruiters to compete on the same job, thereby dumbing down the process. Recruiters get disillusioned, desperate, burnt-out, and take shortcuts, which continues the cycle. And of course worst of all, candidates suffer.

Want to know more? Read the full article « Why ‘agency recruitment’ is totally screwed » and tell us how do you think about it.